1. Réécrivez le texte en remplaçant les mots familiers, populaires et argotiques par leurs équivalents neutres, traduisez le texte. Il implorait presque : ...Je suis tricard. Vous savez à quoi je travaille. Vous savez où je crèche. Si vous voulez, vous pouvez me faire alpaguer. J'ai tenu à vous donner une preuve de ma confiance et je ne crois pas que je puisse vous en donner à meilleur, hein ? Alors, soyez chic. Pour le moment ça doit être arrêté là. Le reste, c'est un peu long à raconter... je ne vous ai pas contacté pour autre chose... mais ailleurs... j'ai mes raisons pour ça. Me biglez pas comme ça, bon Dieu ! Chuis pas dingue. Allez, je vous téléphone. Plus tard que demain. – Pour un autre rencard ? – Euh... – Peut être que je marcherai plus. – Je viendrai chez vous. – Tu auras pu commencer par là. Il haussa les épaules. – Alors tant pis pour ma pomme. Mais vous ne savez pas quelle affaire vous nous faites louper. Et une affure honnête. – Oh ! si quelques briques. – Ça va, coupai-je. – Allez, je me débine. Il se pencha et sortit un carton délabré de sous le lit : – Prenez cette paire de grolles, fit-il. – Ah ! oui, l'alibi ? Tu me feras toujours marrer. Mon vieux, tu l'auras voulu. Tant pis si elles te font défaut. Je les embarque.