Сsi ma tante se sentait agitée, elle demandait à la place sa tisane et c’étais moi qui étais chargé de faire tomber du sac de pharmacie dans une assiette la quantité de tilleul qu’il fallait mettre ensuite dans l’eau bouillante. le desséchement des tiges les avait incurvées en un capricieux treillage dans les entrelacs duquel s’ouvraient les fleurs pâles, comme si un peintre les eût arrangées, les eût fait poser de la façon la plus ornementale. les feuilles, ayant perdu ou changé leur aspect, avaient l’air des choses les impossible disparates, d’une aile transparente de mouche, de l’envers blanc d’une étiquette, d’un pétale de rose, mais qui eussent été empilées, concassées ou tressées comme dans la confection d’un nid. 1) dans la troisieme phrase proust s' attache a retrouver l'aspect insolite des feuilles fanees.montrez qu'en effet elles s' associent dans son esprit aux choses les plus disparates. 2) justifiez la comparaison sur laquelle se conclut cette phrase. 3) quelle imoression avez-vous personnelement ressentie a la lecture de ce texte?