Voilà l'article d'un journaliste sur le reporter d'images indépendant Olivier
Robert. Lisez-le et mettez les verbes entre parenthèses à l'imparfait.
On ne sait jamais ce qu'on va faire demain
Dimanche à Rouen, mardi au Danemark et vendredi au Maroc,
Olivier Robert ne (voyager)
pas seule-
ment pour le plaisir, Il (être)
un reporter
indépendant et (travailler)
jours par mois. «Refuser d'être integré à une entreprise, c'est un
vingt-cinq
choix. Je (vouloir)
être libre.» Les débuts
parfois difficiles. Il (falloir)
(être)
se faire connaître.
Ce statut d'indépendant lui (permettre)
de traiter des sujets très variés. Il (travailler) pour le Figaro, France-soir, Le Monde mais aussi pour des journaux
américains ou japonais.
«Je (travailler)
trop, mais je (aimer)
le plus
ça», affirme Olivier. Ce qui (être)
pénible en fait, c'était l'incertitude. «On ne sait jamais ce qu'on
va faire demain.» Impossible de prévoir des rendez-vous per-
être toujours
sonnels car il (falloir)
disponible. Difficile aussi de consacrer du temps à sa famille.
Olivier (parler)
de sa fille qu'il ne (voir)
et des huit kilos de sa caméra. «Dans dix
ans, je passerai à autre chose.»